Future maison d’arrêt : de forts enjeux économiques pour Trélazé et Beaufort-en-Vallée

La ville de Trélazé vient de se porter candidate pour l’implantation de la future maison d’arrêt. La ville est donc en lice avec l’autre candidature de Beaufort-en-Vallée. Toutes deux souhaiteraient bénéficier de cette nouvelle implantation car cela engendrerait la création d’emplois et le développement de l’activité économique locale.

Désormais, il y a deux villes candidates pour l’implantation de la future maison d’arrêt. En effet, la candidature de Beaufort-en-Vallée a été rejointe la semaine dernière par celle de Trélazé. Toutes les deux présentent des atouts pour accueillir la nouvelle prison de 700 places. Pour la première ce serait sur le site de la Bodinière, et pour la deuxième ce serait sur les sites du Petit-Versailles et les Grands-Champs.

Ce projet est vital car l’actuelle maison d’arrêt d’Angers est vétuste. La construction de cette nouvelle prison coûterait près de 70 millions d’euros. Si ce projet de construction est plus que nécessaire, il comporte des enjeux économiques pour le futur lieu d’implantation. Selon le quotidien Ouest-France, la phase de construction devrait durer 18 mois et devrait engendrer l’emploi de 250 personnes de la région. Pour la commune qui sera retenue, les enjeux économiques pourraient être multiples comme la création d’emplois, des marchés pour les entreprises des alentours ou encore l’augmentation de la population… En conséquence, cette nouvelle prison permettrait le développement économique local, et ce à plusieurs niveaux. Un bel enjeu pour Trélazé et Beaufort-en-Vallée.

Les travaux ne devraient débuter qu’en 2013 pour une ouverture en 2015. Pour l’heure, on ne sait pas qui de Beaufort-en-Vallée ou de Trélazé remportera la bataille.

 

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