Pas de reprise japonaise chez Bosch

Le groupe Akebono, censé reprendre la division freinage de l’usine Bosch à Saint-Barthélémy d’Anjou, n’est plus acheteur. Et le temps presse.

Game Over. Fin des négociations. Le groupe japonais Akebono, fort de 5 000 salariés à travers le monde et initialement susceptible de reprendre la division freinage de l’usine Bosch de Saint-Barthélémy d’Anjou, ne sera pas le repreneur espéré. Tant pis, le directeur Patrick Michiels se doit, d’ores-et-déjà tourner, la page et de partir à la recherche d’un nouveau partenaire. Car trouver une « solution de remplacement » devient « urgent », aux dires de Jacques Cadix, de la CGT.

« Nous savons que notre division ne peut pas être pérenne dans l’organisation actuelle. Le coût des structures est trop élevé par rapport à la concurrence. » Les 450 employés et 100 intérimaires de Bosch craignent à présent une reprise par une entreprise déjà présente dans le freinage, et les conséquences sur leur emploi qui pourraient en découler, via une restructuration importante (source : Ouest France).

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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