Angers et son département n’échappent pas au fort ralentissement de l’activité qui frappe le secteur du logement depuis plusieurs mois. Une tendance lourde qui devrait se poursuivre. Un cycle presque infernal. Des conditions d’accès au crédit qui se resserrent. Une demande qui baisse. Des offres disponibles encore trop chers, mais des vendeurs qui, de guerre lasse, se résolvent à réduire leurs prix. Voilà, à grands traits, le tableau du marché immobilier depuis presque un an. Cette conjoncture, qui fait suite à une décennie euphorique, marquée par un boom du crédit et une inflation record qui a culminé jusqu’à la veille de la pandémie de la Covid, se fait sentir à Angers comme ailleurs. Un marché au ralenti Un bilan vient d’être dressé par la Chambre interdépartementales des notaires de Maine-et-Loire, Mayenne et Sarthe. Premier chiffre à retenir, le plus frappant, la baisse du nombre de transaction entre juillet 2022 et juin 2023 : elle est de l’ordre 20%. Un niveau qui traduit un ralentissement réel, même si, dans l’absolu, le nombre de ventes restent encore élevés (il n’ y pas lieu de parler de « krach »). Marlène Thébault, notaire à Mauges-sur-Loire et présidente de la chambre interdépartementale des notaires du Grand Anjou, explique cette baisse par le durcissement des conditions d’accès au crédit immobilier, matérialisé par une hausse continue des taux d’intérêt depuis deux ans.Deux catégories de population ont subi les effets de ces mesures restrictives : les couples de moins de 30 ans, primo-accédants, dont les revenus mensuels oscillent entre 3 000 et 3 500 €, ainsi que les seniors de plus de 50 ans.Toutefois, ceux qui parviennent à convaincre leur banque de financer leur projet immobilier réalisent toujours une bonne affaire : investir dans la pierre en recourant à l’emprunt reste une opération rentable, les taux immobiliers étant inférieurs au rythme de l’inflation actuelle qui oriente à la hausse la courbe générale des prix. Grosse inflation immobilière en Maine-et-Loire depuis cinq ans Les chiffres livrés par les notaires révèlent le niveau d’emballement du marché du logement au cours de ces dernières années. Des prix qui, pour l’heure, reste élevé malgré le tassement de la demande. Dans le département, le prix médian par mètre carré a connu une augmentation significative de 70,7 % sur une période de cinq ans, et une croissance de 59,3 % sur une décennie pour les appartements anciens. En ce qui concerne les maisons, les hausses sont également notables, atteignant respectivement 37,9 % sur cinq ans et 31,6 % sur dix ans.

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Cette mesure municipale, appliquée chaque soir après 20 heures, vise à maintenir le calme aux abords de l’esplanade Cœur de Maine, rouverte il y a une semaine. A Angers, le monde d’après sera « sobre », du moins le soir et en dehors, bien sûr, des verres consommés au restaurants ou dans les bars ; Depuis une semaine, il est interdit d’acheter et de transporter de l’alcool après 20 heures dans le périmètre du centre-ville. Cette mesure, décrétée par la Municipalité, s’inscrit dans le dispositif qui vise à apaiser l’esplanade Cœur de Maine, de nouveau accessible depuis le 6 juillet après un mois de fermeture lié à une série de dégradations et de désordres perpétrés au cours des premières semaines de déconfinement. Cet espace urbain, inauguré en grande pompes à l’été 2019, est devenu en quelques semaines une petite épine dans le pied des élus de la majorité. Le lieu, propice à de nombreux rassemblements plus ou moins festifs le soir, alors même que les discothèques n’ont toujours pas l’autorisation d’accueillir du public, a été le théâtre de plusieurs débordements. Au printemps dernier, l’alcool aidant, le phénomène a atteint une sorte de paroxysme car les regroupements, devenus massifs au mépris des règles de distanciation physique, ont compté leur lots d’éléments perturbateurs, minoritaires comme toujours. Conséquences visibles de ces grands raouts nocturnes : des tapis de déchets à perte de vue et un système d’arrosage qui a subi plusieurs faits de détérioration volontaires (il faut dire que le mécanisme était parfois déclenché en début de nuit pour inciter les fêtards à quitter les lieux, en vain). Nuisances sonores Tout aussi embêtant pour la Ville : les plaintes récurrentes des riverains qui ne supportaient plus les nuisances sonores (cris et enceintes bluetooth poussées au maximum). C’est dans ce climat de tension que la fermeture de l’esplanade avait été décidée le 8 juin dernier (l’objectif officiel affiché par les autorités était de procéder aux réparations nécessaires). Un mois plus tard, ce coin de verdure urbaine a rouvert sous des conditions assez strictes (la vie nocturne semble y avoir baissé d’un cran) : outre l’interdiction de la vente d’alcool à emporter à partir de 20 heures autour de l’esplanade (mesure qui devrait rester en vigueur tout l’été), les autorités municipales se réservent le droit de saisir les amplis portatifs qui diffusent de la musique à un volume « disproportionné » ; dans un registre plus pédagogique, une signalétique informant les usagers des règles à respecter et des sanctions encourues a été déployée. Elle a été complétée par l’installation de plusieurs poubelles (1 m3) supplémentaires jusque sur la promenade Jean-Turc.

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Interview: Denis Stohr, responsable animation du réseau Akeo.

Akeo, spécialiste de la vente à domicile a annoncé en fin de semaine dernière vouloir recruter 200 personnes sur la région saumuroise. L’entreprise compte aujourd’hui près de 17 000 vendeurs. Elle proposent des produits de grande consommation comme des produits d’entretien, du maquillage de l’alimentation mais également des produits liés aux nouvelles technologies.

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La société de vente à domicile AKEO a annonce aujourd’hui à Saumur qu’elle entendait recruter 200 personnes d’ici six mois sur l’ensemble du département du Maine et Loire. Cette entreprise, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 60 millions d’euros en 2011 a la particularité de vendre en réunion toutes sortes de produits touchant à l’entretien, l’alimentation minceur, le maquillage ou encore la téléphonie.

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Cash Express, spécialiste de l’achat-vente aux particuliers, ouvre un nouveau magasin à Angers (49). Ce nouveau point de vente sera installé au 3, rue Clément-Ader.L’enseigne Cash Express s’est développée depuis plus de huit ans sur tout le territoire national.La société Cash Associés, franchiseur de Cash Express a été créée en 2001 par plusieurs propriétaires de magasins désireux de créer une nouvelle enseigne sur le marché français de l’achat-vente aux particuliers.Avec plus d’1,7 million de clients, Cash Expres comptait 55 magasins ouverts en France début 2009.

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