La Ville investit 240 000 euros pour aider les moins de trente ans à rebondir pendant la crise. Si les seniors ont été les plus exposés au risque sanitaire lié à l’épidémie de la Covid-19, les jeunes en ont été les victimes collatérales : arrêt presque total de l’activité économique il y a un an (puis en novembre dernier), fermeture des universités et des lieux festifs et culturels, gel des stages et des embauches, baisses de revenus, isolement des plus précaires… A l’échelle nationale, 80% de ce public en voie d’insertion professionnel a subi un préjudice consécutif à la crise sanitaire, un jeune sur six a dû stopper ses études faute de moyens financiers et un tiers des moins de 30 ans a dû se faire accompagner par un psychologue…, signale l’adjoint au maire d’Angers chargé de la jeunesse et de la vie étudiante, Benjamin Kirschner,Afin d’enrayer cette spirale négative et tendre une perche aux publics les plus en difficulté, la Ville d’Angers annonce mettre en œuvre un plan baptisé « Ensemble pour la jeunesse ». Dix mesures, financées à hauteur de 240 000 €, vont être déployées. La première porte directement sur le marché du travail : pour en faciliter l’accès et ouvrir des fenêtres d’opportunités aux candidats, un salon de l’emploi va remplacer la traditionnelle journée Jobs d’été qui se tenait jusque-là. L’évènement sera organisé en ligne du 19 au 23 avril prochains. 20 employeurs en seraient déjà partenaires avec, dans leurs valises, des projets de recrutement pour les six prochains mois. Autre action : Les chantiers de jeunes, qui cherchent à faciliter le retour à l’emploi, verront leur capacité d’accueil doublé à 70 places cette année. 100 000 € sont versés dans un fonds visant à financer des projets destinés à faciliter l’insertion professionnelle et sociale des moins de trente ans (les idées sont à adresser avant le 30 juin 2021 à direction.jeunesse@ville.angers.fr). Toutes les initiatives qui proposent des solutions pour lutter contre l’isolement de ce public et apporter des réponses au sentiment de mal-être dont souffre les plus fragiles sont aussi intégrés au programme. Là également, une plateforme est ouverte via ecrivons.angers.fr . A cette adresse, les jeunes étudiants, candidats à un emploi ou en quête d’écoute accèdent aussi à l’ensemble des dispositifs d’aide mis à leur disposition sur le territoire urbain. Quelques projets ont déjà émergé : des bureaux en coworking vont être ouverts par Angers French Tech et des repas à un euros, préparés par des chefs cuisiniers, seront proposés au jeunes à travers un partenariat de commerçants.

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Après une parenthèse de trois ans à Nantes, le salon du végétal devait revenir en Anjou en 2020 mais la crise sanitaire en a décidé autrement. Les organisateurs ont dû reprogrammer la prochaine édition, deux fois annulée, à la fin de l’année… 2022. Le retour officiel du salon du Végétal en terres angevines était initialement prévu en septembre 2020. Pour cette rentrée, des dates avait même été fixées (du mardi 8 au jeudi 10). Hélas, six mois plus tôt, la crise sanitaire provoquée par l’épidémie de la Covid-19 avait conduit les organisateurs de l’évènement à revoir leurs plans. L’événement physique annulé, ils avaient opté pour une version digitale les 14 et 15 septembre dernier…en attendant une éclaircie. En cette fin d’été, des perspectives moins sombres semblaient en effet se dessiner pour 2021 : c’est d’ailleurs en février prochain (les 10 et 11) que le rendez-vous traditionnel devait se tenir, dans des conditions sanitaires que tout le monde imaginait très strictes. Malheureusement, c’est encore raté : le confinement puis le couvre-feu décrétés par l’Etat face à la recrudescence du virus ont eu raison de cette édition. Sans surprise, le BHR (bureau Horticoles Régional) et Destination Angers, co-organisateurs de ce salon, ont dû se résoudre à l’annuler et à la reporter à 2022, sans doute au dernier trimestre. Dans l’intervalle, les acteurs de la filière seront conviés à une grande soirée le jeudi 9 septembre 2021 au Centre de Congrès d’Angers. A défaut d’offrir de gros débouchés commerciaux, cette rencontre permettra de maintenir le lien entre les décideurs du territoire, l’ensemble de la filière et les entreprises. Elle fournira aussi l’occasion d’échanger sur les enjeux à venir du secteur et de présenter, à grands traits, le programme du salon en 2022.Après une délocalisation de trois ans à Nantes, où le BHR espérait faire monter l’évènement en puissance, le salon du végétal était très attendu à Angers, là où il est né il y a presque 40 ans. Son retour au bercail avait été acté en septembre 2019 par la signature d’un contrat de trois ans entre les différentes parties prenantes, responsables du BHR d’un côté, Ville d’Angers, Angers Loire Métropole et Conseil régional de l’autre. Des retrouvaille que le président du BHR Thierry Browaeys, président avait salué comme une « évidence ». Et d’annoncer son intention de « recentrer l’évènement sur le végétal » proprement dit, au moyen d’un programme articulé autour de grandes thématiques : semences, santé, bien-être, éco-responsabilité

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Après une « délocalisation » de trois ans en terre nantaise, le salon emblématique de la filière angevine retrouve dès cette année son berceau d’origine. Le dossier « salon du végétal » a été déposé sur le bureau du conseil municipal. Pour la bonne cause cette fois : lundi dernier, les élus devaient entériner les modalités (financières notamment) qui doivent présider au retour en Anjou de ce rendez-vous professionnel chapeauté par le Bureau Horticole régional (BHR). Une ambiance radicalement différente de  celle qui, trois ans auparavant, avait accompagné  le départ du même salon vers Nantes à la suite d’une décision unilatérale de son principal organisateur. A l’époque, le maire d’Angers Christophe Béchu, très remonté contre cette infidélité motivée par des considérations économiques, avait tenté de riposter en mobilisant des ressources et des acteurs pour proposer une solution alternative apte à servir la filière locale subitement privée de « vitrine ». Mais l’initiative était restée vaine. Après cette parenthèse triennale en Loire-Atlantique où les maitres d’œuvre du salon du végétal souhaitaient y trouver une visibilité « internationale » et des infrastructures plus nombreuses, le BHR revient donc à ses premières amours et décident de rentrer au bercail, lieu de ses racines historiques (le salon du végétal y a été créé il y a plus de trente ans). En septembre dernier, le  président du Bureau Horticole régional Thierry Browaeys justifiait ce retour aux sources comme « une évidence » d’autant plus indiscutable et cohérente qu’Angers a été élevé au rang de « capitale du végétale 2019 ». La convention de collaboration qui formalise les conditions dans lesquelles se tiendront les trois prochaines éditions du salon (du 8 au 10 septembre 2020, puis 2021 et 2022) prévoit le versement d’une subvention municipale de 100 000 euros par an. En contrepartie de cette enveloppe, la collectivité aura le droit d’utiliser la marque dans sa politique de communication. Le retour de ce rendez-vous directement connecté à l’ensemble de l’écosystème vert d’Angers et à son pôle de compétitivité Végépolys Valley, s’inscrit dans un calendrier déjà vaste consacré au secteur, tant dans sa dimension commerciale que scientifique et universitaire, en passant par la formation professionnelle : dès janvier prochain, la 34ème édition du SIVAL, dédié aux matériels et services propres à la filière, se tiendra dans la capitale du 49. En juin dernier, plus de 400 chercheurs et entrepreneurs ont pris part, toujours à Angers, au symposium GreenSys, prélude au congrès mondial d’Horticulture organisée dans la même ville en 2022 (plus de 300 acteurs internationaux y sont attendus).

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Deux ans après son transfert à Nantes, le salon du végétal organisé par le Bureau Horticole régional annonce son retour dans sa ville d’origine, où l’événement a été créé il y a 35 ans. En 2017, l’annonce avait fait l’effet d’une petite bombe dans le microcosme angevin : le salon du végétal, incontournable vitrine d’exposition d’un territoire (re)connu pour son pôle de compétitivité dédié à la filière, quittait Angers pour Nantes où les organisateurs, au rang desquels le Bureau régional horticole, espéraient faire entrer ce rendez-vous professionnel dans  une nouvelle dimension. Trois éditions plus tard (la dernière en date s’est déroulée les 10,11 et 12 septembre derniers à La Beaujoire), l’événement va revenir aux sources : à partir de 2020, c’est le parc des expositions d’Angers qui récupérera la « franchise », et ce pour trois éditions. Les différentes parties prenantes, responsables du BHR d’un côté, Ville d’Angers, Angers Loire Métropole et Conseil régional de l’autre, ont trouvé un terrain d’entente qui s’est matérialisé par la signature d’un contrat jusqu’en 2022. Le prochain salon du végétal se déroulera donc à « domicile » dès l’an prochain. Le calendrier de cette 35ème édition a d’ailleurs déjà été fixé : du mardi 8 au jeudi 10 septembre avec, pour le jour de clôture, une ouverture probable au grand public. Comment les organisateurs justifient-ils ce retour inattendu ? Thierry Browaeys, président du Bureau Horticole régional et du Salon du Végétale évoque une « évidence » qui devait nécessairement le conduire à rejoindre la ville qui fut érigé au rang de « capitale du végétal en 2019 » , là où, de surcroît,  le salon est né il y a 35 ans. Un recentrage sur…le végétal Cette décision s’inscrit dans une stratégie de développement économique dont la récente fusion entre les pôles de compétitivité Végépolys (300 entreprises, organismes et centres de recherche et de formation)  et Céréales Vallée-Nutravita (Clermont-Ferrand) trace les objectifs. Celui, notamment, de créer une entité à rayonnement international réunissant l’ensemble des savoir-faire propres à chacune des filières du végétal, faire vivre la recherche scientifique au profit du secteur et stimuler les innovations. Si le travail de Végépolys cible en particulier les cultures végétales spécialisées , celui de Céréales Vallée-Nutravita englobe les enjeux relatifs aux cultures de grande échelle (céréales, oléoprotéagineux…), les biomatériaux et la santé-nutrition. Un diversification qui devrait transparaître dans le prochain salon angevin que Thierry Browaeys souhaite « recentrer sur le végétal » proprement dit, au moyen d’un programme articulé autour de grandes thématiques : . semences, santé, bien-être, éco-responsabilité. Pour appel, les affaires réalisées à l’occasion du dernier salon nantais (240 exposants) ont atteint 1,5 millions d’euros.

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Vous allez participer prochainement à un salon sur lequel vous comptez pour développer la notoriété de votre entreprise ? Pour cela, il va falloir vous démarquer de vos concurrents. Dans cet objectif, pourquoi ne pas choisir un stand sur mesure ! Le stand sur mesure : de quoi s’agit-il ? Le stand sur mesure selon Galis est conçu par un standiste professionnel tout spécialement pour vous et en adéquation avec l’évènement auquel vous participez. Il se démarque par le fait d’être construit, imaginé et pensé pour le temps d’un salon contrairement au stand modulaire qui peut être réutilisé à chaque évènement mais qui ressemble aux autres. De plus, il est fabriqué à partir de matériaux de grande qualité afin de placer votre espace d’exposition sous le signe du haut de gamme voire du luxe. Cela lui permet d’attirer les regards et donc de vous apporter un maximum de prospects qu’il vous revient de transformer en clients. Le stand sur mesure convient généralement pour les espaces d’exposition d’une superficie supérieure à 18 m² contrairement aux autres types de stand. Les avantages de ce type de stand Faire fabriquer un espace d’exposition sur mesure présente de multiples avantages qui en font une possibilité à considérer pour votre prochain salon pour lequel vous pouvez retrouver toutes les étapes de préparation sur le blog Gataka. Tout d’abord, ses possibilités de personnalisation sont illimitées. Si tous les matériaux utilisés se démarquent par leur qualité, vous avez le choix entre plusieurs comme l’aluminium ou le verre si vous souhaitez apporter à votre espace un aspect sobre mais contemporain. Pour un côté plus chaleureux, vous pouvez mettre le bois à l’honneur. Le PVC et le vinyle sont également très répandus et permettent de belles associations pour un rendu esthétique parfait. En plus du matériau, vous avez le choix des meubles que vous souhaitez installer dans votre stand sur mesure comme une banque d’accueil, des fauteuils, des chaises. Ils ont des couleurs et des designs très variés pour renforcer le style que vous avez choisi de mettre en avant et sont autant de possibilités de personnaliser encore davantage votre espace d’exposition. C’est également le cas avec les supports de communication comme les rollers et les kakémonos qui sont créés à l’effigie de votre entreprise et comportent son logo. Cela permet aux visiteurs d’identifier votre société au premier coup d’œil et de repérer votre stand sur mesure de loin. Il remplit ainsi tout son rôle qui est d’attirer les regards, de provoquer l’effet « waouh » pour attirer l’attention des visiteurs qui voudront aller découvrir ce que vous avez à leur proposer. Ce type de stand est la solution idéale pour véhiculer l’image de votre entreprise et que celle-ci soit positive. Les visiteurs du salon ont tendance à associer la qualité de votre entreprise, des services ou produits que vous proposez, à celle de votre espace d’exposition. Le stand sur mesure est à la hauteur de vos attentes montrant que vous faites attention à l’image que vous transmettez et

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Plant Event, qui devait remplacer le salon du végétal parti à Nantes, a été repoussé d’un an, faute de candidatures suffisantes. La filière verte locale, mise en lumière depuis trente ans à l’occasion d’un salon dédié au végétal, n’aura pas d’estrade à Angers en 2017 : l’évènement, transféré à Nantes par le Bureau Horticole Régionale, devait être remplacé par Plant Event, un salon organisé au pied levé par la chambre d’agriculture, la CCI, la chambre des métiers et les acteurs du Pôle de Compétitivité Végépolys. Mais la concurrence avec l’édition nantaise, d’envergure nationale, s’annonçait rude : en six mois, le salon de substitution angevin n’a pas fait le plein de candidatures. Ses organisateurs, qui invoquent un délai trop court « pour communiquer et convaincre » ont donc préféré remettre le projet à 2018 pour s’éviter un four prévisible. Plant Event, initialement programmé les 22 et 23 février prochains au parc des expositions d’Angers, devait mettre l’accent sur l’innovation et les usages du végétal à travers plusieurs grandes thématiques : le cadre de vie, l’alimentation, le végétal connecté, la santé et le bien-être, l’environnement, l’eau, le sol et l’énergie… En mai dernier, le Bureau Horticole Régional avait justifié sa décision de déménager à la Beaujoire l’emblématique salon angevin du végétal par « des raisons purement techniques » avec l’objectif de revivifier l’évènement dans un espace plus grand et mieux desservi en infrastructures, d’hôtellerie notamment. Ce choix s’inscrivait dans une logique de dynamisation liée au contexte économique difficile de la filière horticole confrontée à une forte concurrence étrangère, une baisse des commandes publiques et des achats en berne dans les jardineries….

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