Le vol en montgolfière est un concept qui séduit de plus en plus. Lors d’événements il n’est pas rare qu’un baptême de montgolfières soit organisé afin de faire découvrir ce moyen de transport original. Cet été plusieurs événements prévoient un lâcher de montgolfières. Découvrez les dates à réserver si un vol en montgolfière vous tente.

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Le discount alimentaire de l’avenue Patton pourrait déménager dans la zone commerciale du Lac de Maine. Un nouveau supermarché va-t-il s’implanter dans le quartier ouest d’Angers ? Un temps évoqué, puis retoqué par la Commission départementale d’aménagement commercial (CDAC), le transfert du magasin Lidl de l’avenue Patton sera réétudié par l’instance de régulation lors d’une nouvelle réunion programmée le 8 février prochain. Le projet porte sur l’installation de l’enseigne allemande au 26-30 rue du Grand Launay, un emplacement situé au cœur de la zone d’aménagement concerté (ZAC) Grand Maine, face au centre commercial aménagé autour de l’hypermarché Carrefour. L’idée est de construire le nouveau magasin Lidl sur des terrains où plusieurs commerces ont déjà été démantelés. Le Lidl de La roseraie va doubler sa surface Le programme avait échoué en 2021 : une proposition similaire concernant l’implantation d’un supermarché Lidl dans cette même zone de Grand Maine avait en effet été soumise à la CDAC qui l’avait alors rejeté. La commission avait jugé que le nouveau Lidl s’établirait dans une zone déjà urbanisée, occupée auparavant par des magasins d’équipement domestique, et que le projet n’offrait pas une intégration architecturale et paysagère de qualité. Elle avait souligné le manque d’harmonie entre le design proposé pour le bâtiment et l’architecture régionale, et avait noté un aménagement paysager très restreint. La Chambre de commerce et d’industrie du Maine-et-Loire s’était elle aussi montrée sceptique face à ce projet. De plus, la section Force Ouvrière du Carrefour Grand Maine avait exprimé son opposition en initiant une pétition contre l’ouverture du Lidl. Les inquiétudes portaient notamment sur la possible suppression d’emplois au Carrefour suite à l’arrivée du nouveau supermarché. De l’autre côté d’Angers, à La Roseraie, l’actuel magasin Lidl va être réaménagé dans un nouveau bâtiment : sa surface commerciale va doubler à 1 400 m². Livraison prévue début 2025.

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Le tout dernier rapport publié le mardi 23 janvier par Arthur Loyd place Angers au sommet du classement des métropoles intermédiaires (population de 300 000 à 500 000 habitants) pour son attractivité. Cette analyse annuelle, menée par le réseau expert en immobilier d’entreprise, passe au crible 75 indicateurs dans 50 villes pour identifier les plus séduisantes pour les entreprises et leurs employés. Les paramètres scrutés incluent entre autres le dynamisme de la population, la création d’emplois, l’engagement envers la transition écologique, la gestion des risques climatiques, le coût de l’habitat, l’accès aux soins de santé, et la pression fiscale. Néanmoins – et c »est plus surprenant – Angers recule dans la catégorie « qualité de vie » : malgré son cadre agréable et le sentiment de bien-être partagé par beaucoup d’habitants, satisfaits par la verdure et les services proposés, le chef-lieu du 49 se classe seulement quatrième, principalement à cause de la hausse des prix de l’immobilier, très sensible depuis une dizaine d’années. Le baromètre 2023 souligne également le succès de Toulouse, qui domine la catégorie des « très grandes métropoles » (plus d’un million d’habitants), devançant Lyon, tandis que Rennes se hisse en tête des « grandes métropoles » (500 000 à un million d’habitants). Angers a gagné 10 000 habitants en 10 ans Pour la deuxième année consécutive, Angers brille dans le groupe des métropoles « intermédiaires », remportant la première place dans la catégorie « connectivité, capital humain et transitions », et la seconde dans « vitalité économique ». L’étude d’Arthur Loyd attribue le succès d’Angers à plusieurs facteurs : un dynamisme démographique remarquable (+10 000 habitants en dix ans), une capacité d’innovation notable, et une offre de mobilité douce adaptée au contexte local. La ville bénéficie également d’une solide résilience économique, soutenue par une croissance du PIB régional et un taux de chômage inférieur à ses rivales, ainsi que par le renforcement des emplois dans les Activités Métropolitaines Supérieures. Le marché immobilier tertiaire d’Angers est également mis en lumière, avec une croissance notable des transactions de bureaux, en particulier pour les nouvelles constructions, illustrée par des projets tels que Le Cours Saint-Laud ou le Quai Saint-Serge, symboles des ambitions d’Angers dans l’accueil d’entreprises. Angers se démarque aussi par son excellent indice de sécurité, son offre éducative supérieure variée, et sa relative préservation contre la pollution atmosphérique et les risques climatiques, notamment les précipitations extrêmes et les canicules.

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Malgré des salles pleines et une fréquentation record, la salle de spectacle angevine accuse une perte financière assez lourde. 2024 ne sera pas un exercice ordinaire pour le Chabada, scène mythique du paysage musical angevin. Cette salle de concert, dédiée aux musiques actuelles, va fêter ses 30 ans d’existence. La programmation dont les contours se dévoilent peu à peu jusqu’au printemps prochain laisse augurer, une fois encore, un bon cru pour l’Adrama, l’association qui gère ce haut lieu culturel aménagé – mais qui s’en souvient encore à part des clients de la première heure ? – dans les anciens abattoirs de la Ville d’Angers, boulevard du Doyenné (quartier Monplaisir). Luidji et Iam déjà complets Après Pierre de Maere (18 janvier), Elmer Food Beat (20 janvier), le groupe lavallois Archimède (9 février) Luidji (22 mars) ou encore les rappeurs d’Iam (13 avril) figurent en bonne place dans le menu 2024. Une offre que les chevilles ouvrières du Chabada souhaitent inscrire dans la continuité de 2023, couronné de succès : une fréquentation record a été enregistrée et rien moins que six concerts ont affiché complets au cours du dernier trimestre. 2024 s’annonce sous les mêmes auspices avec plusieurs spectacles à guichets fermés, dont celui de Luidji, Iam et Zaho de Sagazan. A quatre ans de son déménagement dans une enceinte neuve érigée à Saint-Serge, tout devrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes pour le Chabada, n’était une situation financière qui continue de préoccuper. 80 000 euros de déficit L’équilibre de son budget annuel – d’1,6 million d’euros environ – est menacé par un déficit structurel de 80 000 euros (+ 5 000 euros par rapport à 2022), une perte que l’Adrama ne parvient pas à enrayer. Elle l’impute à l’épidémie de Covid qui avait entraîné la fermeture des lieux culturels et, plus récemment, à l’inflation des coûts de l’énergie, un poids qui leste les charges de fonctionnement de la salle de spectacle au moment où les recettes de billetterie et les subventions sont restées stables. « En 30 ans de gestion, c’est la première fois que nous affrontons des difficultés financières d’une telle ampleur, confirme Mélanie Alaitru, directrice du Chabada. Un situation que traverse de nombreuses petites salles de concert de même calibre (moins de 1000 places). Pour rétablir la situation, l’Adrama a dû prendre des décisions difficiles : les tarifs de location des locaux aux musiciens ont été augmentés de +30%. L’été dernier, l’Adrama reconnaissait déjà être contrainte de « revoir à la baisse ses propositions aux artistes et de partir en quête de nouveaux partenaires » pour faire évoluer le modèle du Chabada.

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L’équipe du parc du végétal pense déjà à la prochaine saison et souhaite construire un effectif à la hauteur de ses ambitions. Un job dating est organisé en ce sens cette semaine : rendez-vous le jeudi 19 janvier au centre des Affaires de Terra Botanica. Plus de 500 000 visiteurs ont franchi les grilles du parc à thème angevin en 2023 : un record absolu pour Terra Botanica qui, en presque quinze ans d’existence, a connu des hauts et des bas. Après un démarrage difficile, le site a progressivement réorienté son offre dans un sens plus ludique, sans renier sa dimension pédagogique, objectif originel qui avait présidé à la création du site en 2010. Après la traditionnelle fermeture hivernale, chaque nouvelle saison arrive avec les lueurs du printemps : en prélude à l’exercice 2024, deux jours d’ouverture  – les Printemps de Terra – sont d’ores-et-déjà programmés les 23 et 24 mars.  Le parc démarrera véritablement son marathon le 30 mars, pour sept à huit mois d’activité. Pour traverser le printemps et l’été, et sans doute le début d’automne, et -pourquoi pas – battre un nouveau record de fréquentation, Terra Botanica souhaite s’appuyer sur des équipes importantes. 150 postes sont à pourvoir dans un éventail assez large de métiers : accueil, jardinage, vente, animation, cuisine, maintenance. Ces différents emplois seront progressivement attribués d’ici  la réouverture du parc. Une première prise de contact sera possible dès ce jeudi, à l’occasion d’un speed dating organisé au Centre des Affaires de Terra Botanica (stationnement et accès depuis la parking des visiteurs). Pour participer à cet évènement, les candidats doivent préalablement s’inscrire sur https://www.terrabotanica.fr/recrutement/ et se munir d’une lettre de motivation et d’un CV. Les rencontres se dérouleront sous la forme de petits entretiens d’une dizaine de minutes. Au-delà des compétences et des qualifications de chacun, « c’est l’attention et le soin apportés à la satisfaction des visiteurs du parc, qui priment dans notre évaluation » indiquent les responsables du parc. Rien n’interdit aux candidats de postuler à plusieurs métiers.

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Si les principaux signaux ne sont pas passés au rouge, de lourdes incertitudes risque de peser sur les prises d’initiative des acteurs économiques du territoire. Elue juste avant l’été dernier à la tête du Medef Anjou, Virginie Beurton-Le Mignon a adressé, jeudi, ses premiers vœux de présidente à la presse et, à travers elle, aux entreprises locales. Ce type de cérémonie s’ouvre généralement par un bilan et s’achève sur des perspectives, forcément fragiles et incertaines. Un taux de chômage contenu à Angers Le bilan d’abord est marqué par plusieurs points positifs : une hausse globale des investissements (+8) et des chiffres d’affaires (+8,4%), deux clés qui déterminent le niveau de croissance économique, reflètent le niveau de confiance des entreprises et conditionnent le dynamisme du marché de l’emploi : le taux de chômage en Maine-et-Loire, mesuré à 6,2% de la population, est d’ailleurs inférieur à la moyenne nationale (avec 7% de chômeurs, Angers rejoint peu ou prou la tendance française). Dans ce tableau plutôt favorable, il y a un bémol : le tribunal de commerce a ouvert 411 procédures collectives en 2023 en Maine-et-Loire. Une tendance qui se dégrade par rapport à 2019, dernier exercice de référence avant l’irruption de la Covid-19, dont le petit commerce peine à se relever. Selon la présidente du Medef Anjou, « on reste toutefois sur des niveaux qu’on a l’habitude d’avoir en France ». Rien de catastrophique ni d’alarmant donc, même si ces chiffres traduisent une fragilisation de certains secteurs d’activité. Les entreprises réclament un choc de simplification L’organisation patronale relaye du terrain un sentiment mitigé où la confiance se mêle à une dose de perplexité nourrie par les incertitudes géopolitiques, des difficultés de recrutement (dans la restauration surtout), « l’infobésité juridique » et un « mille-feuilles réglementaire » qui complique le quotidien des employeurs. « Des chefs d’entreprise sont essoufflés » prévient Virginie Beurton-Le Mignon. Un des leviers à activer pour avancer et se développer restent, selon la présidente du Medef Anjou, « la transition verte », enjeu stratégique et environnemental dont elle a fait son cheval de bataille : « La priorité sera donnée en 2024 aux actions qui s’inscrivent dans cette logique de développement durable, plus respectueuse de l’environnement » annonce Virginie Beurton-Le Mignon.

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Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris débutent officiellement le 26 juillet prochain (la clôture des deux compétions est programmée de 8 septembre). Mais les festivités commenceront dès la printemps, un peu partout en France, avec le passage de la flamme dans 65 villes étapes, dont Angers. Le coup d’envoi symbolique des JO 2024, organisés à Paris, Lille, Nantes, Bordeaux, Lyon, Saint-Etienne, Châteauroux et Tahiti, sera officiellement donné le 16 avril prochain à Olympie, site historique des Jeux, en Grèce. Le traditionnel flambeau, élément du cérémonial associé à ce grand raout sportif mondial, sera allumé, comme le veut la coutume, par de fausses prêtresses de la déesse Héra avant d’effectuer un périple de neuf jours sur son territoire d’origine, puis de rallier Marseille à bord du bateau Bélem, le plus vieux trois-mâts français (1896). Quel parcours en centre-ville d’Angers ? Depuis la cité phocéenne (8 mai), la flamme olympique entamera un autre trajet de plusieurs semaines à travers la France métropolitaine et d’outre-mer. Elle est attendue à Angers le 28 mai, un mardi. Comme le Tour de France, elle sera précédée d’une caravane publicitaire qui s’élancera sur 6 km depuis le complexe sportif du Lac de Maine, à partir de 18 heures environ, jusque sur les grandes artères périphériques de l’hyper-centre. Dans le détail, la flamme descendra le boulevard du Bon-Pasteur, remontera le pont de la Basse-Chaîne et effectuera une boucle via les boulevards du Roi-René, Foch et Ayrault, d’où elle rejoindra la place La-Rochefoucauld. Des animations sont prévues plus tard dans la soirée (19h30). Plusieurs communes traversées en Maine-et-Loire Rappelons que la Comité d’organisation des JO 2024, a décidé de constituer, pour chaque département, des équipes de 24 relayeurs qui porteront la torche de communes en communes. En Maine-et-Loire, la capitaine de cette formation sera Patrick Chila, médaillé de bronze de tennis de table au Jeux Olympiques de Sydney en 2000. Dans le département, Angers ne sera pas la seule municipalité à voir passer la flamme Olympique. Elle fera également étape à La Romagne, à Baugé-en-Anjou, au château de Montsoreau, dans les vignes de Chaudefonds-sur-Layon,  à Saint-Florent-le-Vieil, au Parc départemental de l’Isle Briand du Lion d’Angers. Elle arrivera à Paris le 26 juillet pour la cérémonie d’ouverture de la compétition.

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A partir de samedi, le temps va progressivement s’ensoleiller au-dessus du Maine-et-Loire. La contrepartie c’est que les températures vont plonger, au moins pendant cinq jours. A l’exception que quelques brèves parenthèses de fraîcheur entre la mi-novembre et la première décade de décembre, l’automne fut plutôt doux en Anjou. Et le début de l’hiver est à l’avenant, avec des températures supérieures de 5 à 10 degrés aux normales saisonnières. Cette ambiance océanique, marquée par des pluies excédentaires depuis le 1er août, va être progressivement balayée par un système anticyclonique qui va ramener de l’air scandinave, beaucoup plus froid et sec. Du froid à partir de ce week-end à Angers Dès samedi, le ciel va donc s’éclaircir et le soleil copieusement briller tout au long de la semaine prochaine. Revers de la médaille, il va aussi geler le matin et, l’après-midi, le thermomètre dépassera rarement les 5 °C. Soit dix bonnes unités en moins par rapport à ce que les angevins, et tous les territoires français, ressentent depuis un mois. Ces conditions glaciales vont s’installer dès samedi. Mais c’est surtout dimanche que les températures matinales vont plonger : entre -2 et 5 degrés. Elles auront du mal à grimper en journée, malgré une bonne luminosité (entre 2 et 4 degrés). Localement, à Angers, Météo France annonce un lundi très froid (moins de 3 degrés depuis le matin jusqu’au soir). Le soleil de mardi devrait se lever sous des températures négatives (-2 °C). Les gelées seront évidemment plus marquées dans les campagnes. Un léger redoux devrait se manifester à partir de vendredi prochain mais, à ce stade, les données manquent pour fixer une échéance à cette première offensive hivernale. « Au-delà de sept jours à venir, l’indice de confiance est limité pour le moment à 2/5, s’accordent plusieurs météorologues. Bien sûr, dans cette ambiance froide et sèche, aucun épisode de neige n’est prévu en plaine.

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Entré au gouvernement en mai 2022, le maire d’Angers figure sur la liste des premiers ministrables possibles en cas de départ d’Elisabeth Borne. Toute rumeur de remaniement ministériel charrie son lot d’interrogations et de bruissements. Dans les couloirs de cette rentrée 2024, l’écho lointain d’un changement de premier ministre se fait vaguement entendre. Avec cette éternelle équation à deux inconnues qui surgit dans ces moments de doute et d’attente : « quand » et « qui » ? Une majorité bancale Avant d’avoir des réponses nettes et le début d’un commencement de calendrier, les analystes se penchent inévitablement sur le « pourquoi », beaucoup plus limpide. Lessivé par un match parlementaire très âpre en 2023, l’actuel gouvernement semble dans une impasse stratégique. Plusieurs ministres ont affiché leur désaccord suite au vote de la Loi Immigration, remaniée dans un sens droitier après son passage en commission mixte paritaire, et à l’assemblée, la majorité présidentielle, déjà très fragile, s’est fracturée (un quart des députés de la coalition Renaissance-Horizons-MoDem n’ont pas approuvé le texte). La capacité à rassembler, objectif dont Elisabeth Born s’était fait la championne après l’adoption aux forceps de la réforme des retraites en mars 2023, a fait long feu. Dans ce contexte de division, la perspective du scrutin européen, programmé en juin prochain, se dresse comme un mur pour Emmanuel Macron et ses troupes. A moins de changer de chef de gouvernement au profit d’un visage capable de raccrocher les wagons de la majorité et d’aller puiser de nouveaux soutiens à droite. Christophe Béchu, actuel ministre de la Transition Ecologique, dispose-t-il des cartes pour se confronter à cette gageure ? Longtemps pointé pour sa discrétion extrême, malgré un portefeuille exigeant qui nécessite beaucoup de pédagogie, le maire d’Angers a progressivement trouvé son rythme de croisière, imposant une image ronde et sérieuse, sans faux-pas et peu encline aux coups d’éclats médiatiques. Béchu soutien d’Edouard Philippe : un poids ? Béchu, 49 ans, a plusieurs atouts dans sa manche : c’est d’abord un politique, pas un technocrate. Son ancrage électoral en Maine-et-Loire est profond. C’est là qu’il a décroché, il y a tout juste vingt ans, le fauteuil de président du Conseil général, mandat qu’il a occupé une décennie, avant de remporter la Mairie d’Angers (2014). Jamais député, cet avocat de formation dispose toutefois d’une culture et d’un vécu parlementaires : il a siégé six ans au Sénat entre 2011 et 2017. Sur l’échiquier politique, Christophe Béchu émarge aux côté de la droite modérée. Très proche de l’ancien premier ministre Edouard Philippe, il fit partie des « frondeurs » qui s’étaient désolidarisés de la candidature de François Fillon lors de la présidentielle de 2017. Une trajectoire qui pèserait aujourd’hui plutôt en sa défaveur, tant la chasse aux voix s’annonce complexe à la droite de l’hémicycle, notamment au sein des rangs LR (62 élus) arcboutés sur les lignes dures défendues par Eric Ciotti (président du parti) et Olivier Marleix (président du groupe).

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Plusieurs solutions de coworking existent à Angers pour les travailleurs indépendants : chacune offre des aménagements  et des équipements qui répondent aux besoins des professionnels désireux d’intégrer un espace collectif, de disposer d’un local à travers un contrat de location flexible et de rester au contact d’un réseau d’entrepreneurs pour continuer à se développer. Le coworking à Angers est particulièrement adapté aux startups et freelances qui cherchent à réduire leurs coûts de structure s’appuyer sur un réseau professionnel dynamique. En plus d’offrir un espace de travail en location, la coworking est un cadre propice à l’échange d’idées, à la collaboration, et donne même à l’accès à des ressources de financement. Voici quelques adresses à Angers : Capcowork Angers : Implanté au sein du centre commercial Espace Anjou, Capcowork se démarque par son offre flexible. Les professionnels ont le choix entre une utilisation horaire et des abonnements mensuels, adaptés à des besoins variés de travail. Workin.space : Cette plateforme met à disposition divers types de bureaux à Angers, allant de l’espace ouvert au bureau partagé ou privatif. Elle répond ainsi aux exigences diverses des professionnels modernes. La CoHort’ : Nichée au 162 boulevard de Strasbourg, La CoHort’ offre un cadre favorable tant pour le travail individuel que pour la collaboration, soutenant ainsi l’interaction et l’échange professionnel. À la Cime des Arbres : Localisé au 47 avenue du Grésillé, ce site propose 200 m² de bureaux soignés et confortables, convenant à une large gamme de besoins professionnels. LE RECA – Station 12B : Ce lieu, géré par LE RECA depuis août 2022, est situé au cœur d’Angers (12 avenue Denis-Papin). Il est conçu pour stimuler les échanges entre les utilisateurs dans un environnement agréable, tout en favorisant l’émergence d’une communauté dynamique. « WeForge » : situé dans l’hypercentre d’Angers (25, rue Lenepveu), ce bâtiment offre un cadre idéal pour les freelances, startups et petites entreprises qui recherchent un lieu de travail inspirant et connecté. Ce hub créatif propose non seulement des postes de travail flexibles et des bureaux privés, mais aussi des salles de réunion équipées et des zones de détente, le tout dans un environnement design et moderne. Ces espaces à Angers ne sont pas seulement des lieux de travail : ils sont reconnus pour être des milieux propices au networking et à la collaboration, adaptés aux différents profils professionnels tels que les startups, les freelances et les petites entreprises.

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