L’opération en est à sa 25ème édition : elle se déroulera du 26 février au 22 mars 2024. Il est recommandé au public de réserver ses places. Tourisme économique, industrielle ou artisanal, appelez-le comme vous voulez. Depuis 25 ans, l’opération Made in Angers met en vitrine les entreprises du territoire et permet au grand public d’en découvrir les coulisses. Une beau coup de projecteur sur le savoir-faire développé au niveau local et sur les produits qui font rayonner le territoire, parfois au-delà des frontières françaises. Contrairement à ce que son intitulé pourrait laisser entendre, l’évènement ne met pas seulement Angers à l’honneur, mais l’ensemble des communes de l’agglomération. Cette année, 15 secteurs d’activités seront représentés et 187 entreprises inscrites au programmes, dont 29 nouvelles : citons pêle-mêle, pour Angers intra-muros, la chaufferie de Monplaisir, la confiserie Plantagenêt, l’Atelier Ricochet (cosmétique naturelle), Upsido (tiers-lieu dédié à la création de mosaïque à Belle-Beille), le centre de formation industrielle Fab Academy, l’école du digital Studio M, l’espace de coworking We Forge (rue Lenepveu). A l’extérieur d’Angers, le public pourra découvrir la ferme Sainte-Marthe et la pépinière Ernest Turc (Loire-Authion), le spécialiste de matériel hydraulique hyraumel, la brasserie La Bestiole (Saint-Barthélémy d’Anjou), ou encore l’Institut de formation en éducation physique et sport (Ifepsa aux Ponts-de-Cé). Pour le reste, il y a les incontournables, présents chaque année ou presque : Terra Botanica, Carré Cointreau, Association des Chiens guides d’aveugles, Giffard, les Archives départementales, les Galeries Lafayette, l’usine Scania… Comment s’inscrire ? Autre nouveauté cette année : chaque entreprise participante consacrera 15 minutes à présenter ses actions en faveur de la transition écologique. Dès ce samedi 27 janvier à 9h, les angevins peuvent réserver leur place sur le site internet de Made in Angers (à partir de 14 heures pour les inscriptions à la visite de Scania). Un total de 1 580 visites seront proposées, avec un système de tarification diversifié : 6 € pour le tarif standard, 4 € pour le tarif réduit et un tarif spécial à 3 €. En outre, Made in Angers organisera la deuxième édition de sa convention d’affaires le mardi 20 février, qui se tiendra au Centre de congrès. Cet événement est spécialement conçu pour les entreprises souhaitant mettre en avant leur expertise locale et favoriser les circuits courts. Les entreprises intéressées doivent s’inscrire avant le 9 février en contactant Aldev au 02 52 57 01 29. L’an dernier, Made in Angers avait attiré 12 000 visiteurs.

[...]

Si les principaux signaux ne sont pas passés au rouge, de lourdes incertitudes risque de peser sur les prises d’initiative des acteurs économiques du territoire. Elue juste avant l’été dernier à la tête du Medef Anjou, Virginie Beurton-Le Mignon a adressé, jeudi, ses premiers vœux de présidente à la presse et, à travers elle, aux entreprises locales. Ce type de cérémonie s’ouvre généralement par un bilan et s’achève sur des perspectives, forcément fragiles et incertaines. Un taux de chômage contenu à Angers Le bilan d’abord est marqué par plusieurs points positifs : une hausse globale des investissements (+8) et des chiffres d’affaires (+8,4%), deux clés qui déterminent le niveau de croissance économique, reflètent le niveau de confiance des entreprises et conditionnent le dynamisme du marché de l’emploi : le taux de chômage en Maine-et-Loire, mesuré à 6,2% de la population, est d’ailleurs inférieur à la moyenne nationale (avec 7% de chômeurs, Angers rejoint peu ou prou la tendance française). Dans ce tableau plutôt favorable, il y a un bémol : le tribunal de commerce a ouvert 411 procédures collectives en 2023 en Maine-et-Loire. Une tendance qui se dégrade par rapport à 2019, dernier exercice de référence avant l’irruption de la Covid-19, dont le petit commerce peine à se relever. Selon la présidente du Medef Anjou, « on reste toutefois sur des niveaux qu’on a l’habitude d’avoir en France ». Rien de catastrophique ni d’alarmant donc, même si ces chiffres traduisent une fragilisation de certains secteurs d’activité. Les entreprises réclament un choc de simplification L’organisation patronale relaye du terrain un sentiment mitigé où la confiance se mêle à une dose de perplexité nourrie par les incertitudes géopolitiques, des difficultés de recrutement (dans la restauration surtout), « l’infobésité juridique » et un « mille-feuilles réglementaire » qui complique le quotidien des employeurs. « Des chefs d’entreprise sont essoufflés » prévient Virginie Beurton-Le Mignon. Un des leviers à activer pour avancer et se développer restent, selon la présidente du Medef Anjou, « la transition verte », enjeu stratégique et environnemental dont elle a fait son cheval de bataille : « La priorité sera donnée en 2024 aux actions qui s’inscrivent dans cette logique de développement durable, plus respectueuse de l’environnement » annonce Virginie Beurton-Le Mignon.

[...]

Venez-vous de créer votre startup ou votre petite entreprise ? Avez-vous besoin de matériel professionnel pour démarrer vos activités ? Le leasing, également appelé location avec option d’achat, peut être une excellente solution ! Découvrez donc les avantages de ce mode de financement et comment il peut dynamiser le développement de votre jeune entreprise. Un financement accessible Le principal avantage du leasing de matériel professionnel est de permettre l’acquisition de matériel professionnel de qualité sans mobiliser une somme importante dès le départ. Contrairement à l’achat au comptant, le leasing ne nécessite pas un apport initial conséquent. Seule une avance de 5 à 30 % de la valeur du bien est requise lors de la signature du contrat. Le reste est réglé par des mensualités échelonnées sur 1 à 5 ans généralement. Ces loyers sont considérés comme des charges d’exploitation, donc déductibles du résultat imposable, allégeant davantage la charge financière du leasing. De plus, il est parfois possible de moduler les mensualités en fonction de la saisonnalité de l’activité. La possibilité d’acquérir un équipement de pointe Le leasing donne accès à du matériel neuf et récent, dont le coût d’achat au comptant serait trop élevé pour une jeune société. Vous pouvez ainsi bénéficier des dernières innovations technologiques et gagner en compétitivité. Votre production est optimisée, et vos charges fixes restent raisonnables puisque vous n’achetez pas le matériel. En choisissant une durée de location adaptée à la durée d’amortissement fiscal et comptable des biens, vous pouvez renouveler fréquemment vos équipements. Votre outil de production est toujours à la pointe de la technologie. La simplicité des démarches administratives Le processus de demande de leasing est relativement simple et plus rapide qu’un prêt classique. Le dossier comporte moins de justificatifs financiers et est généralement traité en une ou trois semaines. Une réponse rapide permet de concrétiser ses projets d’investissement au bon moment et de ne pas manquer des opportunités. Qui plus est, le suivi administratif se limite au paiement de la mensualité. Le loueur se charge de la gestion technique, de l’entretien et des réparations éventuelles du matériel pendant la période de location. Vous n’avez ainsi pas à vous soucier de la maintenance ou de la revente du bien s’il devenait obsolète. La possibilité d’adapter ses besoins à son activité Le leasing offre une grande modularité pour s’ajuster à l’évolution de vos besoins en équipement au fil du développement de votre activité. La durée du contrat et la valeur de rachat en fin de période sont négociables selon votre stratégie. Il est possible de restituer le matériel si vous n’en avez plus besoin. Certains contrats intègrent même une période de prolongation optionnelle. Vous pouvez aussi faire l’acquisition définitive du bien s’il reste indispensable en activant l’option d’achat. Cela pour une somme modique déjà fixée à la signature du leasing. Un soutien en expertise technique et financière Les sociétés de leasing vous accompagnent bien au-delà du simple financement. Leurs équipes commerciales vous aident à définir vos besoins, à sélectionner le matériel le mieux adapté, et à monter le plan de financement correspondant. Elles peuvent aussi vous conseiller sur l’optimisation fiscale, les dispositifs d’aide aux entrepreneurs

[...]

La relation client fait partie des leviers de croissance d’une entreprise commerciale performante. Le logiciel de relation client (CRM) reste cette solution technologique qui permet d’optimiser la gestion d’une clientèle importante et d’obtenir une meilleure productivité. Souhaitez-vous améliorer la relation client de votre organisation ? Le CRM français est-il le meilleur choix pour réaliser ce rêve ? Retrouvez dans cet article l’intérêt de choisir un CRM français pour une meilleure gestion de la relation client de votre entreprise. Présentation d’un outil performant de gestion de la relation client Le CRM (Customer Relationship Management) est un logiciel qui permet d’optimiser la qualité de la relation client de votre entreprise. En effet, cet outil de gestion centralise les données sur la clientèle. Avec cette base de données, il aide les équipes commerciales à organiser, gérer et suivre la relation de l’entreprise avec sa clientèle. En France, vous avez différents éditeurs qui interviennent sur le marché des CRM. Si votre entreprise réalise ses activités dans l’hexagone, vous pouvez choisir sur ce site le CRM Français de vos rêves. Quels que soient la taille et le profil de votre entreprise, vous êtes certains de trouver la solution française la plus adaptée à vos besoins et à vos exigences d’une bonne gestion de la relation client.  Les fonctionnalités d’un CRM français Les éditeurs de CRM français présentent presque les mêmes fonctionnalités que ceux de l’étranger. Il s’agit des fonctions de gestion de base de données (informations sur les clients), d’optimisation des campagnes de marketing, de suivi des activités de la clientèle, de l’amélioration de l’expérience client, etc. Le CRM français va plus loin en proposant des fonctionnalités spécifiques au marché local français. Avec ces outils clés, vous renforcez la relation unique qui vous lie à votre clientèle. Ce qui vous permet de prendre des décisions éclairées sur la meilleure stratégie marketing à adopter. Ainsi, l’entreprise apporte les réponses appropriées aux besoins de sa clientèle. Les avantages d’utilisation d’un CRM français Pour une entreprise qui intervient sur le marché français, l’utilisation d’un CRM français présente de nombreux avantages. En effet, les éditeurs de CRM de l’hexagone proposent des outils qui sont nativement conformes à la réglementation française et européenne, notamment le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Il s’agit là d’un avantage imparable qui vous permet de profiter d’une solution répondant aux normes strictes de sécurité et de confidentialité des données personnelles. Ainsi, en optant pour un CRM français, vous disposez d’une certaine assurance dans le traitement et la transmission d’informations sensibles de votre clientèle. Un autre avantage du CRM français est son interface design intuitive et facile d’utilisation. Il offre aux utilisateurs une meilleure prise en main. De plus, ses fonctionnalités sont parfaitement intégrées dans le contexte linguistique français. Ce qui permet aux utilisateurs de rester plus efficaces dans l’accomplissement de leurs différentes tâches. Le CRM français propose également un support client prompt et basé en France. Ainsi, en cas de dysfonctionnement de votre outil de gestion de la relation client, un expert se rendra immédiatement disponible

[...]

Evénement annuel visant à soutenir et informer les personnes intéressées par la création ou la reprise d’entreprise, ainsi que les jeunes entrepreneurs, les Folles Journées pour entreprendre, organisées par les Maisons de la création et de la transmission d’entreprises (MCTE) et animées par la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) de Maine-et-Loire, se tiendront du lundi 16 au vendredi 20 octobre. Ateliers et rencontres avec des acteurs de l’entrepreneuriat Ce rendez-vous donnera lieu à près de cinquante rendez-vous répartis dans tout le département du Maine-et-Loire. Ils prendront la forme d’animations, d’ateliers et de retours d’expérience à travers des témoignages. L’objectif principal est de fournir des informations, des conseils pratiques, et de partager des bonnes pratiques pour aider ceux qui envisagent de se lancer dans un projet entrepreneurial. Plusieurs évènements se tiendront à la MCTE d’Angers (132 avenue de Lattre de Tassigny) : Un jeu plateau « Rallye Dilemme Entrepreneurs » et deux ateliers « Les acteurs de la reprise » et « Devenir agent commercial indépendant : comment signer un contrat d’agent commercial le lundi 16 octobre. Une table-ronde autour de la thématique « Se reconvertir, pourquoi pas vous ? » le mardi 17. Un jeu plateau « Mettez-vous dans la peau d’un entrepreneur » et un atelier « Sauriez-vous mener une startup innovante vers le succès ? » le vendredi 20. Entre temps, un apéro Créateurs organisé autour de partenaires de la création financement se tiendra dans les locaux des ateliers partagés Pepina (6 rue Guillaume Lekeu – bâtiments 12 et 19). Plus de 10 000 créations en Maine-et-Loire Les participants pourront trouver le programme détaillé de l’événement sur le site internet des MCTE, où ils pourront découvrir les différentes sessions prévues et s’inscrire aux activités qui les intéressent. Cette initiative est une excellente opportunité pour les futurs entrepreneurs de se familiariser avec les étapes de la création d’entreprise et de bénéficier de l’expérience et des conseils de professionnels du secteur. voir le programme complet Pour s’inscrire 10 524 créations d’entreprises ont été recensées en Maine-et-Loire en 2022 (source : MCTE). Un chiffre record qui place le département au 2ème rang régional (20% des immatriculations). 60% des créations sont des micro-entreprises, soit 5800 nouvelles structures.

[...]

Après de forte baisses en 2020 et 2021, le nombre de faillites augmentent brutalement depuis l’an dernier dans le département. Un phénomène attendu dans la mesure où il coïncide avec l’extinction des aides publiques et autres reports de paiements mis en place durant la crise sanitaire. 277 dépôts de bilan ont été enregistrés entre janvier et juillet 2023 par le tribunal de commerce d’Angers. C’est déjà presque autant que l’ensemble de faillites comptabilisées sur l’ensemble de l’année 2022 (304). Un chiffre qui, au rythme actuel, sera sans doute dépassé à la fin de l’exercice. Rien d’alarmant pour autant. 80% de liquidations judiciaires La courbe ne révèle pas  l’émergence d’une crise aussi grave et violente que celle de la période 2009-2010, la plus destructrice d’emplois depuis 1945. Les spécialistes s’accordent à dire qu’elle traduit davantage un retour à la normale, un correctif après la parenthèse exceptionnelle de la pandémie de Covid-19. Les 277 dossiers de cessation de paiement réceptionnés par les juges consulaires au premier semestre 2023 ont très majoritairement donné lieu à des liquidations judiciaires (80% des cas), soit des arrêts d’activité définitifs, pour 49 redressements, procédure qui vise à mettre en place une série de mesures destinées à apurer les dettes et permettre à l’entreprise de redémarrer des bases assainies, parfois au prix de lourdes suppressions de postes. 10 « sauvegardes » ont été prononcées : il s’agit de recours que peuvent saisir les établissements afin de réorganiser leur modèle et honorer leurs créances à seule fin d’éviter le dépôt de bilan : les structures placées en sauvegarde par un tribunal de commerce rencontrent donc des difficultés économiques sans se trouver pour autant en cessation de paiement. Un millier de salariés concernés L’ensemble des entreprises suivies par le tribunal de commerce de janvier à juillet représente un effectif de mille salariés environ. C’est beaucoup, 30% de plus que sur la même période en 2019, dernier exercice de référence avant l’émergence de la Covid. : l’importance du chiffre s’explique notamment  par la banqueroute de grosses structures, comme le promoteur immobilier Carréneuf (85 salariés), liquidé en mars 2023. D’autres procédures, dites de « prévention », s’enclenchent également en faveur des entreprises qui, souhaitent, elles aussi, éviter le dépôt de bilan. Elle conduisent notamment les juges consulaires à nommer un mandataire ou un conciliateur pour accompagner le dirigeant dans son objectif de redressement. 112 demandes ont été examinées au cours du premier semestre 2023, presque deux fois plus par rapport à 2019 (57). Les motifs qui ont fragilisé les entreprises depuis 2022 sont nombreux : la fin des aides publiques qui leur avaient permis de soutenir leur trésorerie lors du ralentissement économique de la période Covid, le remboursement des Prêts garantis par l’Etat (PGE) mis en place aux aussi pendant la crise sanitaire pour permettre aux PME/TPE de disposer d’argent frais. A cette longue période d’incertitudes a succédé une conjoncture d’inflation, la crainte d’une pénurie d’énergie en lien notamment avec la guerre en Ukraine, accompagnée d’une hausse spectaculaire des prix, et les prémices d’un krach immobilier.

[...]

Créer une microentreprise est une option intéressante pour les personnes qui cherchent à lancer leur propre entreprise. Mais avant de vous lancer, il y a plusieurs choses que vous devez savoir. Dans cet article, nous allons examiner tout ce dont vous avez besoin pour créer une microentreprise en France, y compris les obligations légales, les comptes bancaires, et plus encore. Que vous soyez un particulier, un autoentrepreneur, un entrepreneur, ou un porteur de projet, cet article devrait vous donner toutes les informations dont vous avez besoin. Le compte bancaire : première étape pour créer une microentreprise L’un des éléments les plus importants dont vous aurez besoin pour votre microentreprise en France est un compte bancaire. Pour démarrer votre entreprise, vous aurez besoin d’un compte bancaire distinct de votre compte personnel. Cela peut aider à garder vos finances organisées. Vous pouvez également opter pour une banque en ligne comme https://particuliers.sg.fr/ouvrir-compte-bancaire-en-ligne pour plus de commodité et de rapidité. En effet, cela peut s’avérer pratique pour les autoentrepreneurs qui ont peu de temps à consacrer aux tâches administratives et qui ainsi, peuvent gérer leur compte dédié depuis n’importe où et n’importe quel support (ordinateurs, smartphones, tablettes, etc.) tant qu’ils ont un accès internet. N’oubliez pas non plus de consulter les tarifs et les services proposés par la banque avant de vous décider. Les obligations légales Les obligations légales sont une partie importante de la création d’une microentreprise en France. Avant même de commencer à travailler, vous devez vous assurer que vous respectez les exigences légales suivantes : immatriculer votre entreprise auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE) ;obtenir un numéro SIRET (Système d’identification du Répertoire des Entreprises et des Établissements) ;déclarer votre entreprise auprès des autorités fiscales et sociales ;valider votre convention collective. Les assurances Les assurances sont également un élément important à considérer lors de la création d’une entreprise comme d’une autoentreprise. Assurez-vous d’avoir la bonne couverture pour votre entreprise et pour votre protection personnelle. Les assurances que vous devez prendre en compte comprennent la responsabilité civile professionnelle, l’assurance multirisque professionnelle, et l’assurance décennale pour les professions de la construction. Les impôts L’impôt est une question importante pour toute entreprise, et les microentreprises ne font pas exception. Vous aurez également besoin de vous assurer que vous respectez les obligations fiscales de votre entreprise, notamment en ce qui concerne les seuils de TVA ! Si vous exercez en tant qu’artisan, professionnel libéral ou prestataire de services en auto-entreprise peuvent bénéficier de la franchise en base de TVA jusqu’à ce que leurs recettes atteignent 36 800 euros. Au-delà de ce montant et jusqu’à 39 100 euros, le seuil majoré s’applique parallèlement à une période de tolérance comprise entre ces deux sommes. Si vous achetez et vendez des biens ou fournissez des services d’hébergement sous le régime de l’auto-entreprise, 91 800 euros est la limite dérogatoire pour la franchise de base de TVA avec un plafond élargi à 101 000 euros qui englobe également un délai d’indemnisation correspondant. Conseils pour lancer votre microentreprise En

[...]

Pour faciliter le progrès d’une entreprise, le dirigeant doit mettre à la disposition des employés certains matériels. Ainsi, il facilite l’évolution du travail et met l’employé dans de bonnes conditions. Parmi les équipements à mettre dans une société, les vestiaires occupent une place importante. Mais, sont-ils obligatoires dans une entreprise ? Cet article vous répond. Vestiaire : un espace de rangement au sein d’une entreprise Une entreprise n’est pas seulement constituée d’employés. Il est important que la structure dispose d’équipements lui permettant de bien accomplir ses tâches ou objectifs. Pour protéger et sécuriser ces différents accessoires, les vestiaires sont les espaces les plus adaptés. En effet, vous pourrez y mettre toute sorte d’éléments. Par exemple, si la société est une entreprise de nettoyage, les matériels tels que les balais, les pelles, les gants, les brouettes et autres seront mieux préservés dans le vestiaire collectif de la société. Vu sous cet angle, le vestiaire devient un espace indispensable pour une entreprise. Une fois que vous l’aurez installé dans votre société, pensez à avoir un cadenas pour protéger vos biens ou matériels. Vestiaire : un coin spécifique pour sécuriser les effets du personnel Dans certaines entreprises, les employés doivent se servir de certains équipements pour mieux faire leur travail. Très souvent, ces équipements en question sont fournis par la société. Pour des besoins de rangement et surtout d’organisation, il serait profitable à une entreprise d’installer des vestiaires individuels dans ses locaux. Cela permet d’abord aux employés d’y ranger leurs effets personnels. Comme exemple, un agent de sécurité peut y ranger sa tenue ou son uniforme. Un spécialiste des traitements phytosanitaires pourra y mettre son équipement de protection (lunettes, bottes, etc.). Hormis cela, grâce aux vestiaires, chaque personnel pourra rapidement accéder à ses outils de travail. Si tous les équipements étaient mélangés, il serait beaucoup plus difficile de se retrouver. Les vestiaires permettent donc une bonne organisation et facilitent indirectement la progression des tâches. En tenant compte de ces différents points, vous devez obligatoirement installer des vestiaires dans votre société.  Vestiaire : un espace non indispensable Les vestiaires sont des espaces importants pour une entreprise. Mais, dans certaines circonstances, ils ne sont pas vraiment indispensables. Par exemple, pour les structures où la tenue de travail n’est pas exigée, cet espace est inutile. Ceci à cause du fait que les employés s’habillent depuis chez eux et rentrent avec leurs vêtements. Il en sera de même pour les entreprises qui font des prestations de services digitales. Dans ce cas, il n’y aura pas grand-chose à ranger dans les vestiaires. Ainsi, avoir un vestiaire dans l’entreprise serait donc superflu.  Il faut ajouter qu’au sein d’une entreprise, il existe une panoplie d’accessoires qui peuvent jouer le rôle des vestiaires. À titre d’exemple, si l’employé veut sécuriser ses affaires personnelles, il peut utiliser son tiroir ou un coffre-fort. Au cas où il serait dans l’incapacité d’avoir ces équipements, il peut simplement se procurer un meuble de rangement. Avec ce type de mobilier, il pourra ranger tout ce qu’il veut.

[...]

Dans le cadre de son plan de relance post-Covid, l’Etat allège la charge fiscale des employeurs dès cette année. En Anjou, la note s’élève à 100 millions d’euros. En pleine crise, c’est un petit choc peut être salutaire, à tout le moins une bouffée d’oxygène qui s’offre aux acteurs économiques : en septembre dernier, le plan de relance « Bâtir la France de 2030 » présenté par Bercy comportait un volet fiscal qui annonçait une baisse d’impôt de 20 milliards d’euros répartis sur les exercices 2021 puis 2022. La mesure entre donc en œuvre dès cette année : à l’échelle nationale, elle représente un effort budgétaire de 10 milliards, une somme qui sera donc réengagée dans les mêmes proportions l’an prochain.En Maine-et-Loire, 8 225 entreprises sont concernées avec, à clé, un gain estimé à 102,7 millions d’euros. L’allégement porte sur les impôts locaux qui pèsent sur la production (masse salariale, investissement, capital) et dégradent la compétitivité de nombreux secteurs d’activité, et notamment des établissements industriels qui supportent à eux seuls 20% de la contribution. Un facteur qui grève l’attractivité des territoires et encouragent les délocalisations, affirme le ministère de l’Economie. Un phénomène que l’Etat souhaite justement renverser en encourageant le maintien ou le retour de filières stratégiques. Des impôts réduits de moitié Trois impôts vont donc baisser en 2021 : La cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) baisse de moitié. Une réduction qui correspond à la suppression de la part affectée aux Régions.La cotisation foncière des entreprises (CFE) et la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) diminuent aussi de 50%. Enfin, le niveau de plafonnement de la cotisation économique territoriale (CET) passe de 3 à 2% de la valeur ajoutée : pour rappel, les entreprises redevables de cet impôt avaient jusqu’ici la possibilité de solliciter un prélèvement maximal de 3%, y compris lorsque le calcul initial de la CET était supérieur à ce taux. Désormais cette opération est réalisable dès la barre des 2%. La réduction de ces impôts dits de production profite «à 74 % aux TPE, PME et entreprises de taille intermédiaire», avait souligné le premier ministre Jean Castex, le 3 septembre dernier. Le Ministère de l’Economie précise que « les petites entreprises non redevables de la CVAE – parce que leur chiffre d’affaires est inférieur à 500 000 € – « bénéficieront sous condition de la baisse du taux de plafonnement de la Cotisation économique territoriale ». Rappelons que la CET avait remplacé la taxe professionnelle en 2010 : la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et la Cotisation foncière des entreprises (CFE), assise sur les biens immobiliers de l’entreprise, sont les deux composants du dispositif. Son produit est réparti entre les collectivités territoriales : les communes et les EPCI pour la totalité de la CFE et une partie de la CVAE. Ce dernier impôt aussi affecté aux Régions et aux Départements à hauteurs respectives de 50% et 23,5%.

[...]

Si le bilan 2019 est plutôt positif sur le territoire, des questions se posent sur la manière dont le marché va évoluer après un exercice marqué par la crise sanitaire et l’émergence de réflexions sur les modes d’utilisation des bureaux. Superficies, prix, volumes, équilibre entre offre et demande…Ces paramètres clés, qui permettent une prise de pouls global du marché local des bureaux et entrepôts sont synthétisés dans l’Observatoire de l’Immobilier d’Entreprise (OIE). L’enquête, présentée le 25 juin dernier par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Maine-et-Loire et le Club Immobilier Anjou, s’appuie sur une série de données recueillies auprès d’une quinzaine professionnels du secteur, cinq bailleurs sociaux, huit EPCI (instances administratives qui regroupent plusieurs communes), Solutions & Co (agence régionale de développement économique des Pays de la Loire), SOMINVAL (société d’économie mixte pour l’exploitation du marché d’intérêt national) et la Chambre Interdépartementale des notaires. Le télétravail, nouvelle donne en 2020 ? L’OIE dresse un bilan de l’année 2019 : et il est plutôt bon. Impossible toutefois d’en tirer des conclusions très significatives dans la mesure où de nouveaux enjeux stratégiques sont apparus avec la crise liée au Covid-19, à la fois dans les capacités financières des candidats à l’installation, mais aussi dans le mode d’exploitation des infrastructures. Les auteurs en ont pris conscience du potentiel impact de cet épisode sanitaire sur le volume de la demande future : « pendant le confinement, un tiers des salariés étaient en télétravail » signale l’étude sur la base d’un pointage réalisé en mai 2020 Est-ce une tendance de fond qui, dans un avenir plus ou moins, va conduire à un réajustement « des besoins en volume de surface » ? Une incertitude à laquelle s’ajoutent d’autres évolutions d’ordre structurelles relatives à l’organisation des espaces de travail (plus de coworking ?), la digitalisation des outils, eux aussi renforcés par la récente application des règles de distanciation physique, et la transition écologique des bâtiments qui pourrait conduire à mettre en place davantage de souplesse et « d’agilité dans la reconversion des immeubles professionnels ». En 2019, 125 transactions ont été réalisées sur le territoire d’Angers Loire Métropole (marché tertiaire, donc des bureaux), soit 9 de plus qu’en 2018. Le volume global des surfaces acquises est toutefois en repli sur un an, 27 338 m² contre 41 562 l’année précédente (mais ce bilan est meilleur qu’en 2017, avec 22 267 m² vendus à l’époque). Sans surprise, la grande majorité des opérations (93) porte sur des superficies inférieures à 200 m². 5 concernent un volume de 1 000 m² et plus. D’après l’OIE, les entreprises font de plus en plus le choix de l’acquisition, plus particulièrement sur des biens de petite taille (moins de 200 m² dans trois quarts des cas).

[...]