La société angevine Sindup sera partenaire de la cinquième édition des 24h du digital sur le circuit du Mans le 14 septembre prochain. Cette manifestation, appelée également Convention Medialibs, propose chaque année, à la fin de l’été une journée de conférences, d’ateliers et d’animations sur l’univers du numérique.

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L’opération en est à sa 25ème édition : elle se déroulera du 26 février au 22 mars 2024. Il est recommandé au public de réserver ses places. Tourisme économique, industrielle ou artisanal, appelez-le comme vous voulez. Depuis 25 ans, l’opération Made in Angers met en vitrine les entreprises du territoire et permet au grand public d’en découvrir les coulisses. Une beau coup de projecteur sur le savoir-faire développé au niveau local et sur les produits qui font rayonner le territoire, parfois au-delà des frontières françaises. Contrairement à ce que son intitulé pourrait laisser entendre, l’évènement ne met pas seulement Angers à l’honneur, mais l’ensemble des communes de l’agglomération. Cette année, 15 secteurs d’activités seront représentés et 187 entreprises inscrites au programmes, dont 29 nouvelles : citons pêle-mêle, pour Angers intra-muros, la chaufferie de Monplaisir, la confiserie Plantagenêt, l’Atelier Ricochet (cosmétique naturelle), Upsido (tiers-lieu dédié à la création de mosaïque à Belle-Beille), le centre de formation industrielle Fab Academy, l’école du digital Studio M, l’espace de coworking We Forge (rue Lenepveu). A l’extérieur d’Angers, le public pourra découvrir la ferme Sainte-Marthe et la pépinière Ernest Turc (Loire-Authion), le spécialiste de matériel hydraulique hyraumel, la brasserie La Bestiole (Saint-Barthélémy d’Anjou), ou encore l’Institut de formation en éducation physique et sport (Ifepsa aux Ponts-de-Cé). Pour le reste, il y a les incontournables, présents chaque année ou presque : Terra Botanica, Carré Cointreau, Association des Chiens guides d’aveugles, Giffard, les Archives départementales, les Galeries Lafayette, l’usine Scania… Comment s’inscrire ? Autre nouveauté cette année : chaque entreprise participante consacrera 15 minutes à présenter ses actions en faveur de la transition écologique. Dès ce samedi 27 janvier à 9h, les angevins peuvent réserver leur place sur le site internet de Made in Angers (à partir de 14 heures pour les inscriptions à la visite de Scania). Un total de 1 580 visites seront proposées, avec un système de tarification diversifié : 6 € pour le tarif standard, 4 € pour le tarif réduit et un tarif spécial à 3 €. En outre, Made in Angers organisera la deuxième édition de sa convention d’affaires le mardi 20 février, qui se tiendra au Centre de congrès. Cet événement est spécialement conçu pour les entreprises souhaitant mettre en avant leur expertise locale et favoriser les circuits courts. Les entreprises intéressées doivent s’inscrire avant le 9 février en contactant Aldev au 02 52 57 01 29. L’an dernier, Made in Angers avait attiré 12 000 visiteurs.

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Pour faciliter le progrès d’une entreprise, le dirigeant doit mettre à la disposition des employés certains matériels. Ainsi, il facilite l’évolution du travail et met l’employé dans de bonnes conditions. Parmi les équipements à mettre dans une société, les vestiaires occupent une place importante. Mais, sont-ils obligatoires dans une entreprise ? Cet article vous répond. Vestiaire : un espace de rangement au sein d’une entreprise Une entreprise n’est pas seulement constituée d’employés. Il est important que la structure dispose d’équipements lui permettant de bien accomplir ses tâches ou objectifs. Pour protéger et sécuriser ces différents accessoires, les vestiaires sont les espaces les plus adaptés. En effet, vous pourrez y mettre toute sorte d’éléments. Par exemple, si la société est une entreprise de nettoyage, les matériels tels que les balais, les pelles, les gants, les brouettes et autres seront mieux préservés dans le vestiaire collectif de la société. Vu sous cet angle, le vestiaire devient un espace indispensable pour une entreprise. Une fois que vous l’aurez installé dans votre société, pensez à avoir un cadenas pour protéger vos biens ou matériels. Vestiaire : un coin spécifique pour sécuriser les effets du personnel Dans certaines entreprises, les employés doivent se servir de certains équipements pour mieux faire leur travail. Très souvent, ces équipements en question sont fournis par la société. Pour des besoins de rangement et surtout d’organisation, il serait profitable à une entreprise d’installer des vestiaires individuels dans ses locaux. Cela permet d’abord aux employés d’y ranger leurs effets personnels. Comme exemple, un agent de sécurité peut y ranger sa tenue ou son uniforme. Un spécialiste des traitements phytosanitaires pourra y mettre son équipement de protection (lunettes, bottes, etc.). Hormis cela, grâce aux vestiaires, chaque personnel pourra rapidement accéder à ses outils de travail. Si tous les équipements étaient mélangés, il serait beaucoup plus difficile de se retrouver. Les vestiaires permettent donc une bonne organisation et facilitent indirectement la progression des tâches. En tenant compte de ces différents points, vous devez obligatoirement installer des vestiaires dans votre société.  Vestiaire : un espace non indispensable Les vestiaires sont des espaces importants pour une entreprise. Mais, dans certaines circonstances, ils ne sont pas vraiment indispensables. Par exemple, pour les structures où la tenue de travail n’est pas exigée, cet espace est inutile. Ceci à cause du fait que les employés s’habillent depuis chez eux et rentrent avec leurs vêtements. Il en sera de même pour les entreprises qui font des prestations de services digitales. Dans ce cas, il n’y aura pas grand-chose à ranger dans les vestiaires. Ainsi, avoir un vestiaire dans l’entreprise serait donc superflu.  Il faut ajouter qu’au sein d’une entreprise, il existe une panoplie d’accessoires qui peuvent jouer le rôle des vestiaires. À titre d’exemple, si l’employé veut sécuriser ses affaires personnelles, il peut utiliser son tiroir ou un coffre-fort. Au cas où il serait dans l’incapacité d’avoir ces équipements, il peut simplement se procurer un meuble de rangement. Avec ce type de mobilier, il pourra ranger tout ce qu’il veut.

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En France, les étudiants disposent d’un large choix en matière de poursuites d’études dans le domaine artistique. Des écoles nationales et régionales en arts appliqués se côtoient et proposent des formations diplômantes et professionnalisantes. Selon le « JDD », Annecy, Bayonne et Angers sont en tête des villes les plus agréables de France. Pour les étudiantes et les étudiants qui cherchent à associer « qualité de vie » et » « études supérieures en design », le choix d’Angers s’impose à l’EEGP. EEGP, école d’arts appliquées à Angers L’école de design et des arts appliqués EEGP est une école supérieure formant les étudiants aux métiers du design d’espace, design graphique, design multimédia et marketing. Pour veiller à la bonne réussite de ses étudiants, l’école dispose de salles d’arts graphiques, de licences de logiciels spécifiques utilisés en entreprise, d’équipements multimédias, etc. Le travail en mode projet est également privilégié afin de préparer les étudiants au monde du travail. En rejoignant le groupe national Icadémie en 2015, l’EEGP a étendu son activité d’enseignement des arts appliqués et du design au e-learning. Quels cursus pour quels diplômes ? L’EEGP propose des formations diplômantes en arts appliqués et en design allant du niveau bac au niveau bac+6. L’école dispose ainsi d’une classe préparatoire, de deux bachelors, d’une licence, d’un mastère et d’un MBA (Master of Business Administration). La classe préparatoire arts appliqués de l’EEGP est dispensée à Angers. Elle permet aux étudiants de découvrir les techniques d’expression graphiques et de réaliser un portfolio représentatif de leurs compétences en arts appliqués et de leur créativité. D’une durée de 10 mois, cette première année offre la possibilité aux étudiants d’intégrer un établissement supérieur en art ou de poursuivre en intégrant directement la deuxième année de bachelor au sein de l’EEGP. Le bachelor Design Graphique est un diplôme de niveau bac+3 dispensé à Angers. Il couvre des disciplines telles que le design éditorial, l’illustration, la typographie, etc. La 3ème année se fait en alternance, une opportunité qui ouvre des portes vers le monde professionnel. Le bachelor Design d’Espace est un diplôme de niveau bac+3 dispensé à Angers. Il permet aux étudiants d’aborder des problématiques autour de l’aménagement intérieur et de l’architecture. Cette formation permet également d’effectuer la 3ème année d’études en alternance. La licence Design et Direction Artistique est un diplôme universitaire de niveau bac+3. Créée en 2018-2019, cette licence est issue d’un partenariat avec l’ESTHUA – Université d’Angers. Elle a pour objectif d’enseigner aux étudiants la conception, l’accompagnement et le suivi des projets de communication visuelle dans les secteurs du tourisme, de la culture et du patrimoine. Le mastère direction artistique et stratégie digitale est un diplôme de niveau bac+5 dispensé à Angers. Cette formation permet aux étudiants d’acquérir les compétences nécessaires au métier de directeur artistique. Ce cycle de 2 ans peut être effectué en alternance. Le MBA Design Management est un diplôme universitaire dispensé à Angers. Ce cycle d’études de 8 mois est un programme international s’adressant aux professionnels souhaitant évoluer pour prendre plus de responsabilités au sein

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C’est en tout cas l’avis d’un acteur digital de l’emploi, Hellowork, qui a réalisé une étude sur les performances des marchés du travail des villes moyennes. Sous l’effet de la crise, la répartition des emplois disponibles sur les territoires vampirisés par les grandes métropoles se serait rééquilibrée au profit des pôles moyens. Un effet d’aubaine dont auraient profité des agglomérations moins tentaculaires comme Angers ou Cholet. Toutes deux figurent d’ailleurs dans le top 10 des espaces urbains répertoriés dans cette catégorie où le nombre d’emplois créés depuis le début de l’année 2021 serait sur une pente très positive (un classement dressé par HelloWork., un acteur de l’emploi, du recrutement et de la formation en France).La capitale angevine y pointe à la huitième place, devant l’agglo d’Annecy et derrière Paris-Saclay. Celle des Mauges fait encore mieux puisqu’on la retrouve sur le podium (3ème), entre Vannes et le Grand Dijon. Selon le directeur délégué de Hellowork, ces bons résultats pourraient traduire les prémices d’un démétropolisation progressive des emplois vers des espaces urbains moins denses. Un phénomène encore peu sensible, dont des villes comme Angers et Cholet, « ni trop petites, ni trop grandes » seraient les bénéficiaires, si d’aventure cette tendance devait se confirmer au cours des prochains mois. Est-ce le signe tangible d’une déconcentration de l’emploi ? Paris, on le sait, n’a plus guère la cote depuis plusieurs années auprès des actifs, rebutés par le coût prohibitif de l’immobilier et le rythme infernal de la vie professionnelle. Un sentiment de rejet qui s’est amplifié pendant la crise sanitaire, en raison des confinements successifs à l’origine de la généralisation du télétravail. Or, si la demande s’en va, une partie de l’offre ne pourra que suivre. La baisse constatée des embauches dans les métropoles n’est « pas uniquement parisienne puisque hors Paris, la part des neuf plus grandes ville de France se replie également de 2 points » confirme Hellowork.Les 10 premières villes moyennes répertoriées dans ce palmarès représenteraient aujourd’hui 7 % des offres en CDI et CDD (contre 5 %en 2020 ) et 8 % des opportunités de recrutements en intérim (contre 7 % l’an dernier). Dans le grand ouest, le territoire des Pays de la Loire apparaît comme la troisième région la plus dynamique de France sur le front de l’emploi : 10 % des offres françaises y sont comptabilisées. Seules l’Auvergne-Rhône-Alpes (17 % des offres) et l’Île de France (16 %) font mieux.

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Le premier ministre va rencontrer Les Compagnons du Devoir, visiter le chantier de la deuxième ligne de tramway à Monplaisir et se rendre au vaccinodrome aménagé au Parc des Expositions, à l’est d’Angers. Visite surprise, celle du chef du gouvernement, confirmée hier par la Préfecture du Maine-et-Loire. Jean Castex, attendu ce mardi 27 avril en tout début d’après-midi à l’aéroport d’Angers-Marcé, sera accompagné de la ministre du Travail Élisabeth Borne et de la secrétaire d’État à la Jeunesse Sarah El Haïry. Le trinôme aura un agenda chargé, dominé par une thématique sur l’accès des jeunes à l’emploi : raison pour laquelle il se rendra d’abord au siège régional des Compagnons du Devoir (boulevard Copernic, à Monplaisir) pour rencontrer des actifs de 16 à 21 ans en voie d’ insertion professionnelle. Un lieu tout indiqué pour présenter les contours du plan #1jeune1solution lancé en août 2020 par le gouvernement pour faciliter l’accès au marché du Travail. Outre les aides à l’embauche, le dispositif cible les publics sans diplôme en leur réservant 100 000 formations qualifiantes ou pré-qualifiantes vers les métiers d’avenir. Des mesures spécifiques sont notamment en vigueur pour permettre aux centres de Formation des Apprentis (CFA) d’investir dans de nouveaux programmes et équiper les candidats en matériels numériques. En parallèle, une plateforme digitale #1jeune1solution a été mise en service pour accélérer la recherche d’emploi et de stage et d’orienter les demandeurs vers les accompagnements auxquels ils ont droit pour faire aboutir leurs projets. A proximité du siège des Compagnons du devoir, Jean Castex, Elisabeth Borne et Sarah El Haïry se rendront au cœur du quartier Monplaisir où le chantier de la seconde ligne du tramway est en cours (10 kilomètres de tracé jusqu’à Belle-Beille/Tehnolopole). La visite ministérielle comportera également un inévitable chapitre sanitaire : tous trois sont attendus au vaccinodrome d’Angers, ouvert depuis la mi-avril dans les murs du parc des Expositions. Entre-temps, le maire d’Angers Christophe Béchu aura droit à une entrevue avec le chef de l’exécutif et les membres du gouvernement à l’Hôtel de Ville.

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Une start-up angevine a lancé une plateforme nationale dotée d’un service de livraison de proximité pour aider les commerces du secteur à développer leur business en ligne. L’idée mûrissait depuis longtemps dans l’esprit de l’entrepreneur Eric Grelier, actuel président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Maine-et-Loire et fondateur de la franchise Oya Fleurs* en 1997 (20 magasins en France). Mais, comme un déclic, l’impact économique de la pandémie survenue en 2020 a servi d’accélérateur à l’élaboration d’un nouveau modèle destiné à suppléer les modes de distribution traditionnels des acteurs de la distribution physique, brutalement privés de débouchés au printemps dernier. Comment assurer aux particuliers un service de livraison de fleurs à Angers (ou de toute autre bassin de consommation) à partir d’une plateforme numérique simple d’utilisation et alimentée par des produits locaux ? Les fleurs à l’heure du click and collect La solution développée par Eric Grelier est d’abord le fruit d’un constat : « la plupart des fleuristes n’ont pas d’outils dématérialisés, et quand ils en ont, ces supports ne sont plus adaptés aux exigences du marché ». C’est un défi quotidien pour un commerçant absorbé par son activité que de faire vivre son site internet et d’être en capacité technique de le référencer sur les moteurs de recherche du web, là où précisément l’offre et la demande se croisent. « Les deux mois de confinement ont rendu nécessaire la digitalisation des professionnels du secteur, la mise en place de la e- réservation et le retrait rapide en magasin » témoignait le chef d’entreprise en mai 2020 (source : info-JAF). Au-delà de l’urgence imposée par le contexte sanitaire, la politique de ByFlox s’inscrit dans une démarche éthique de long terme : l’environnement et l’équité des échanges sont au cœur des valeurs revendiquées par la start-up, soucieuse de promouvoir un modèle favorisant les circuits courts – un enjeu devenu majeur en milieu urbain – et capable d’assurer une juste rémunération aux acteurs économiques. « L’idée était de déployer une plateforme qui a pour objet de présenter le catalogue aux conditions du fleuriste » souligne le fondateur (source : Timecod). Faire vivre le fleuriste d’à-côté La plateforme se présente comme un outil de commande à distance : après adhésion, les professionnels disposent d’un espace sécurisé et couplé à un service de livraison (mais le système s’adapte évidemment à des formules de type « drive » avec des possibilités de retraits du panier en magasin). De son côté, le client accède librement aux produits à partir d’un premier critère de géolocalisation : l’utilisateur commence par saisir son adresse, choisit ensuite le mode de distribution puis la date et l’horaire auxquels il souhaite recevoir sa commande à domicile ou aller la récupérer en boutique. L’interface déroule alors une série d’adresses de proximité avec un catalogue associé. A rebours des modèles habituellement privilégiés par d’autres acteurs du web opérant sur ce marché, la solution angevine valorise ainsi les savoir-faire locaux au détriment des offres standards compilées dans des vitrines généralistes où abondent

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Après une parenthèse de trois ans à Nantes, le salon du végétal devait revenir en Anjou en 2020 mais la crise sanitaire en a décidé autrement. Les organisateurs ont dû reprogrammer la prochaine édition, deux fois annulée, à la fin de l’année… 2022. Le retour officiel du salon du Végétal en terres angevines était initialement prévu en septembre 2020. Pour cette rentrée, des dates avait même été fixées (du mardi 8 au jeudi 10). Hélas, six mois plus tôt, la crise sanitaire provoquée par l’épidémie de la Covid-19 avait conduit les organisateurs de l’évènement à revoir leurs plans. L’événement physique annulé, ils avaient opté pour une version digitale les 14 et 15 septembre dernier…en attendant une éclaircie. En cette fin d’été, des perspectives moins sombres semblaient en effet se dessiner pour 2021 : c’est d’ailleurs en février prochain (les 10 et 11) que le rendez-vous traditionnel devait se tenir, dans des conditions sanitaires que tout le monde imaginait très strictes. Malheureusement, c’est encore raté : le confinement puis le couvre-feu décrétés par l’Etat face à la recrudescence du virus ont eu raison de cette édition. Sans surprise, le BHR (bureau Horticoles Régional) et Destination Angers, co-organisateurs de ce salon, ont dû se résoudre à l’annuler et à la reporter à 2022, sans doute au dernier trimestre. Dans l’intervalle, les acteurs de la filière seront conviés à une grande soirée le jeudi 9 septembre 2021 au Centre de Congrès d’Angers. A défaut d’offrir de gros débouchés commerciaux, cette rencontre permettra de maintenir le lien entre les décideurs du territoire, l’ensemble de la filière et les entreprises. Elle fournira aussi l’occasion d’échanger sur les enjeux à venir du secteur et de présenter, à grands traits, le programme du salon en 2022.Après une délocalisation de trois ans à Nantes, où le BHR espérait faire monter l’évènement en puissance, le salon du végétal était très attendu à Angers, là où il est né il y a presque 40 ans. Son retour au bercail avait été acté en septembre 2019 par la signature d’un contrat de trois ans entre les différentes parties prenantes, responsables du BHR d’un côté, Ville d’Angers, Angers Loire Métropole et Conseil régional de l’autre. Des retrouvaille que le président du BHR Thierry Browaeys, président avait salué comme une « évidence ». Et d’annoncer son intention de « recentrer l’évènement sur le végétal » proprement dit, au moyen d’un programme articulé autour de grandes thématiques : semences, santé, bien-être, éco-responsabilité

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